dimanche 11 août 2013

Les Douze Royaumes, Tome 3

Malgré ce que laisse supposer la couverture, ce n'est pas un manga, mais bien un fabuleux roman.
 Tome 3 – la Majesté des Mers 
de Fuyumi Ono

Résumé du quatrième de couverture :
Par-delà l’ombre de la lune, un monde extraordinaire attend d’être découvert : le monde des 12 royaumes. Un monde peuplé de créatures fantastiques et où chaque être a sa place. Un monde régi par douze rois, chargés de faire régner la loi et la justice. Qu’un seul d’entre eux renie son destin, et l’harmonie sacrée des 12 royaumes sera rompue. Viendra alors l’heure du chaos…
C’est la guerre, dans le royaume de En.
Atsuyu, le gouverneur de la province de Gen, défie l’autorité de son roi, Shôryû.
Et il ose l’irréparable : prendre le kirin du royaume en otage. Le kirin, la créature sacrée qui assure l’équilibre du royaume, et dont le sort est capital : si le kirin meurt, le roi meurt à son tour.

Mon avis :
J’adore ce tome ! !
C’est le premier tome a n’être qu’en un seul volume, mais il est extraordinaire. Après le petit Kirin de Tai, on découvre l’histoire du début du règne du roi de En et de sa rencontre avec Enki que j’adore comme personnage. Sa personnalité est super, elle fusionne parfaitement avec celle de son roi. Le personnage de Kôya est vraiment intéressant et comme lui, j’aimerais vraiment vivre dans le royaume de En.
Cette partie de la saga fait également partie de la série animée des Douze Royaumes, mais en tant que six OAV. Ces derniers ont si bien respecté le livre que s’en est troublant, mais c’est tant mieux.
J’ai beaucoup aimé la relation naissante entre le roi de En et son jeune kirin, traumatisé par son enfance dans notre monde d'il y a 500 ans. Une fois de plus, je n’ai pas du tout été déçue, mais enchantée par ce roman que je place dans mes préférés. ^^

Extrait début du prologue :
"Au bout du monde, il y avait une mer. On l’appelait la mer de Kyokai. De part et d’autre de cette mer, se trouvaient deux pays, l’un à l’est, et l’autre à l’ouest. Jamais ils n’avaient eu d’échanges et jamais leurs habitants ne s’étaient rencontrés. Pourtant il arrivait parfois, à la tombée de la nuit, que dans ces deux pays, l’on y raconte la même légende.
Au-delà de la mer, disait cette légende, se trouve un pays merveilleux. Seuls certains élus peuvent s’y rendre. Là-bas, la terre est fertile, la richesse jaillit comme une source, et n’y connaît ni vieillesse, ni mort, ni aucune autre souffrance."

420 pages

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