samedi 24 août 2013

Les Aventures d'Anita Blake, Tueuse de Vampires, Tome 2

Tome 2 - Le Cadavre Rieur
de Laurell K. Hamilton
★★★★

Résumé du quatrième de couverture :
Savez-vous ce que c'est qu'une " chèvre blanche " ? Eh bien, en jargon vaudou, c'est un doux euphémisme pour désigner la victime d'un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j'ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés... mais ça, non ! Pas question... Mais, je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d'un million de dollars. L'ennui, c'est que tout le monde n'a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu'un pour faire le boulot. Qu'on va se retrouver avec un mort vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c'est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n'avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires...

Mon avis : 
Âme sensible s'abstenir ! Ce 2e tome est vraiment gore. On a droit a des descriptions très détaillés des scènes de crimes. Je respecte hautement les forces de l'ordre pour le travail qu'elles font. On ne se rend vraiment pas compte des horreurs auxquelles elles assistent tous les jours.
Enfin bref, ce volume est très centré zombie, d'ailleurs on ne voit presque pas de vampire. Ce qui est un peu dommage, j'aurais bien aimé voir un peu plus Jean-Claude. On n'en apprend pas plus sur les marques vampiriques, mais beaucoup sur les zombies, bien qu'Anita garde encore tous ses mystères. 
La fin du tome est très surprenante et haletante. J'ai tout de suite enchaîné avec le tome 3, tellement je voulais savoir la suite. C'est juste un peu dommage qu'on sache presque depuis le début qui est le méchant, même si on apprend ses motivations plus tard, j'aime quand il y a plus de mystère. 

Extrait début chapitre premier :
"Scintillant sous le soleil de plomb du mois d’août, la maison d’Harold Gaynor se dressait au milieu d’une pelouse d’un vert intense entourée de gracieuses rangées d’arbres.
Bert Vaughn, mon patron, se gara dans l’allée semée de graviers d’un blanc si étincelant qu’ils ressemblaient à des cristaux de sel. Des sprinklers invisibles émettaient un doux bourdonnement. Grâce à eux, le gazon conservait une absolue perfection au milieu de la pire sécheresse que le Missouri ait connue en plus de vingt ans. Mais je n’étais pas là pour discuter d’irrigation avec M. Gaynor. Seulement pour parler de relever les morts."

350 pages

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