dimanche 18 décembre 2011

Alpha et Omega, Tome 1

Tome 1 – Le Cri du Loup
de Patricia Briggs
★★★

Résumé du quatrième de couverture :
Anna a toujours ignoré l’existence des loups-garous, jusqu’à la nuit où elle a survécu à une violente agression… et en est devenue un elle aussi. Dans sa meute, elle a appris à faire profil bas et à se méfier des mâles dominants jusqu’à ce que Charles Cornick, Alpha, et fils du chef des loups-garous d’Amérique du Nord entre dans sa vie.
Il affirme qu’Anna est non seulement sa compagne, mais qu’elle est aussi une Omega d’une puissance rare… ce qui se révélera très utile pour traquer  un loup-garou doté d’une magie si sombre qu’il pourrait menacer l’ensemble de la meute.

Mon avis :
Cela faisait déjà un moment que j’avais envie de lire une série sur les loups-garous. J’ai bien aimé ce premier tome, même si j’ai été un peu déçue.
Je sais que cette série fait partie ou suit une autre série Mercy Thompson, et c'est peut-être pour cela, car je n’ai encore jamais lu un livre de cet auteur. J’ai trouvé que le début était très abrupt. Les deux personnages se sont rencontrés deux jours avant le début du livre et sont déjà tombés amoureux. C’est vraiment dommage qu’il n’y ait pas eu leur rencontre, c’est un des éléments que j’aime particulièrement dans les histoires d’amour. Correction, cette rencontre a lieu dans le tome 0. 
L’univers de ces loups-garous à l’air très complexe et cela me plaît, même si Anna est déjà une louve depuis plusieurs années, elle ne sait presque rien sur son espèce et cela m’a permis de bien rentrer dans l’histoire.
J’ai trouvé les relations entre les deux amoureux très mignonnes. Cependant, même si on avait à chaque fois la vision des deux, il m’est toujours resté un sentiment d’inachèvement, il manque quelque chose quoi.
Mais je vais lire la suite, car j’aime bien ce mélange de surnaturel et de magie. ^^

Extrait début du prologue :
"Personne ne savait mieux que Walter Rice que le seule endroit sûr se trouvait loin des gens. Sûr pour eux, s’entend. Le seul problème était qu’il avait toujours besoin d’eux, besoin d’entendre des voix humaines et des rires. A sa grande honte, il rôdait parfois à la lisière d’un camping juste pour entendre les voix et faire comme si elles étaient en train de lui parler."

363 pages

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